Malga Fara

Malga Fara

Située au-dessus du hameau de Bosplans, à une altitude de 960 mètres, la Malga Fara est la propriété de la commune et est gérée depuis 2017 par le Consorzio delle Valli e delle Dolomiti friulane. Un berger, avec son troupeau de moutons, garde les pâturages environnants, qui sont également visibles depuis Andreis, propres et productifs. La malga, pendant la saison estivale, est un point de rafraîchissement agritouristique populaire, où l’on peut également trouver les produits des autres exploitations du Consortium frioulan. La vue, non obstruée par les arbres, s’ouvre largement sur Resettum et Raut.

Le renouveau de l’élevage de moutons à Andreis permet une réinterprétation contemporaine du mode de vie traditionnel, qui a toujours été lié à l’agriculture. Jusqu’au milieu du siècle dernier, le paysage était constitué de prairies et de pâturages. Le dépeuplement et l’abandon des activités traditionnelles ont entraîné l’avancée de la forêt au cours des dernières décennies, ici comme dans la plupart des Alpes.

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Le roiello de Pellegrin
Montereale Valcellina

Le roiello de Pellegrin

L’eau courante a été apportée à San Leonardo Valcellina en 1837 grâce à l’intuition d’un agriculteur local, Giovanni Antonio Dell’Angelo, dit Pellegrin. Auparavant, il y avait la “lagune”, un bassin stagnant et insalubre, alimenté par les pluies, au centre de la place.

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Monuments aux morts
Montereale Valcellina

Monuments aux morts

À Malnisio, le monument aux morts avec la statue solennelle représentant l’Italie a été inauguré le 4 novembre 1925 sur la place devant l’église, mais il n’a été achevé qu’en 1933. Pour faire place à ces travaux, la fontaine du village a été déplacée.

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Musée archéologique du Palazzo Toffol
Montereale Valcellina

Musée archéologique du Palazzo Toffol

La zone dans laquelle se trouve Montereale Valcellina est habitée depuis au moins trois mille ans : les plus anciens témoignages d’établissements humains remontent au XIVe siècle avant J.-C., ce qu’on appelle l’âge du bronze. Certaines épées qui ont ressurgi des graviers de la Cellina remontent à cette période, peut-être à caractère votif, liées au culte du torrent ou d’une divinité liée à l’eau.

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